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Paru dans The Conversation, l’article  « À quoi sert le doctorat ? Ce que nous apprend l’histoire du diplôme le plus élevé de l’université » explore l’évolution depuis le début du XIXe siècle du diplôme dénommé aujourd’hui « diplôme national de doctorat« .

L’auteur, Dr Pierre Verschueren, y retrace l’histoire du diplôme et grade de doctorat, explorant son rôle traditionnel dans les carrières universitaires, les défis contemporains auxquels sont confrontés les doctorants et docteurs, et la nécessité pour les institutions de repenser progressivement ce diplôme pour mieux répondre aux besoins du marché du travail dans le monde contemporain.

 

Extrait :

« Dans le paysage des diplômes, le doctorat occupe une place particulière. Non seulement il s’agit du grade universitaire le plus élevé mais il ne se contente pas d’attester de la maîtrise de compétences, il prouve aussi la capacité à produire des savoirs nouveaux. Comment s’est-il fait reconnaître sur le marché de l’emploi ? »

 

A consulter en intégralité dans le média en ligne The Conversation (accès libre) :

VERSCHUEREN, Pierre, « À quoi sert le doctorat ? Ce que nous apprend l’histoire du diplôme le plus élevé de l’université », The Conversation, 18 juin 2025, [En ligne] https://theconversation.com/a-quoi-sert-le-doctorat-ce-que-nous-apprend-lhistoire-du-diplome-le-plus-eleve-de-luniversite-257918

Le 22 avril 2025, dans le cadre des actions du collectif JDCIR en faveur de la réintégration du dispositif jeune docteur (DJD), l’Association Nationale des Docteurs (ANDès), représentée par sa présidente Dr Linda Lahleh, a participé à une réunion d’échanges avec Sarah Teper, conseillère du ministre chargé de l’Industrie et de l’Énergie de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique.

Dans ce cadre, les points suivants ont notamment été abordés :

1/ les impacts délétères de la fin du dispositif pour les docteurs et les entreprises

2/ les premiers résultats d’enquêtes sectorielles à partir d’exemples concrets et de retours terrain

3/ l’incohérence de cette abrogation au regard du plan France 2030, des enjeux de souveraineté technologique nationale, de réindustrialisation, d’attractivité de l’emploi scientifique en France et des annonces récentes concernant l’accueil des chercheurs américains.

Depuis l’annonce surprise de la suppression dans le projet de loi de finances 2025 du dispositif jeune docteur (DJD) intégré au crédit d’impôt recherche (CIR), l’Association Nationale des Docteurs (ANDès) se mobilise en continu en faveur de sa réintégration :

Le 12 février 2025, l’Association Nationale des Docteurs (ANDès), représentée par Dr Linda Lahleh, sa présidente, et Dr Sandra Touati, sa secrétaire générale, a participé à la première réunion du collectif jeune docteur-CIR (JDCIR).

Dans la continuité de son communiqué de presse du 05 février et de son discours en Cneser du 11 février 2025 sur la suppression dans le projet de loi de finances pour 2025 du dispositif jeune docteur (DJD) intégré au crédit d’impôt recherche (CIR), l’ANDès a rejoint le collectif lancé à l’initiative de son partenaire Adoc Talent Management.

Les premières actions du collectif JDCIR seront la publication d’une tribune dans la presse et le lancement d’une pétition en faveur de la réintégration du dispositif.